1. |
MANO NEGRA Thème
02:29
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2. |
Couvre-moi
03:42
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Qu’on m’oublie, pour de bon
Qu’on me marche dessus
N’être que de passage
Un vague souvenir
Une idée
Dans l’air
Couvre-moi Couvre-moi de branches
Couvre-moi Couvre-moi de sable
Couvre-moi Couvre-moi de cendres
Couvre-moi Couvre-moi d’absence
Qu’on m’oublie, que ça cesse
Qu’on me laisse dans le doute
N’être que de passage
Presque un visage
Presque un prénom
Couvre-moi Couvre-moi de pierres
Couvre-moi Couvre-moi d’un drap
Couvre-moi Couvre-moi d’une main amie
Couvre-moi Couvre-moi d’une croix
Et là où j’irai
J’irai seul
J’irai sans peur
J’irai
Car il est temps
De passer à autre chose
D’une forme à l’autre
Franchir la ligne
Se dépasser
Couvre-moi Couvre-moi de branches
Couvre-moi Couvre-moi de sable
Couvre-moi Couvre-moi de cendres
Couvre-moi Couvre-moi d’absence
Couvre-moi Couvre-moi de pierres
Couvre-moi Couvre-moi d’un drap
Couvre-moi Couvre-moi d’une main amie
Couvre-moi Couvre-moi d’une croix
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3. |
Point de fuite
03:15
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J’avais envie
De faire une pause
D’en rester là
Les mains dans la terre
De se laisser porter
D’entendre le vent
Point de fuite
Sans retour
Pont de fuite
Avancer
La dernière fois que je t’ai touché
j’ai senti l’eau couler
Que j’ai dormi dans un lit
Sous un toit / Souviens-toi
La dernière fois que je t’ai frôlé
tu m’as dit n’y va pas
tu le savais déjà
je ne reviendrais pas
Il est long le chemin
Il est long le chemin
Il est sans fin
Point de fuite
Sans retour
Pont de fuite
Pour Avancer
Oui mais vers où ?
Au bout de quoi
Au bout d’un fil ?
Au bout d’une corde ?
Les sentiers se ressemblent
J’y suis déjà passé
Je reconnais
Mais oui, mais non
Allons voir plus loin
Là-bas
Au bout du chemin
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4. |
La course
01:21
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5. |
Hissé
03:49
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Hissé
Au plus haut des cimes
Arrivé, désormais, au sommet
D’un dernier coup de pic
Se hisser au-dessus de la mêlée
Hissé
Est-ce que tu me vois encore ?
Hissé
Je me fends dans le décor
A quoi rêve-t-il
Quand le chercheur d’or
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Merci, Stan. Hyères, France
Merci, Stan. c’est l’accord entre deux univers artistiques, celui de Franck Cascales et celui de Vincent Hours. L’ouverture se fait sur une note tenue, sorte d'écho aux musiques minimalistes et synthétiques tombées dans les oreilles de ces éternels adolescents. De cette audace, il reste une fragilité évidente, ces Petites Natures en équilibre qui osent encore alors que tout a déjà été fait. ... more
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